the name of the ship is le
Dalblair , which sank on the reef of pt desny, Mahebourg on the night of
6th to 7th febuary 1902 during a cyclone. its was on its way from
Cardiff ,England to Portlouis with a loads of coal and 24 men . more
info coming soon 🙂
La nuit fatidique du Dalblair sur les récifs
de Pointe d’Esny ( weekend 2007 )
“Sur la ceinture de récifs qui entoure l’île
Maurice, aveuglés par la tempête et la nuit, des
vaisseaux de tout temps sont venus se briser… Après
de la Pointe d’Esny, la grande carcasse du Dalblair est prisonnière
des roches qui l’ont prise.” (Naufrages in Fagots,
vol.2, 1954)
C’est dans la nuit fatidique du 6-7 février 1902, soit
un peu plus de 105 ans de cela, que le Dalblair, un 3-mâts
à la coque tout en acier, s’échouait sur les récifs
de la Pointe d’Esny. Le Dalblair était en route
pour Port-Louis avec une cargaison de charbon de terre en provenance
de Cardiff en Angleterre. À son bord, un équipage
de 24 hommes, sous les ordres du Capitaine McLaren. Le Dalblair
était à sa seconde visite à Maurice.
Que se passe-t-il en cette nuit fatidique du 6-7 février
1902 au large de la côte sud-est ? Des houles d’une rare
violence projettent le Dalblair contre les récifs
(on est dans un cyclone dont le centre a passé sur Rodrigues
avant de menacer Maurice sérieusement) où il reste
immobilisé au milieu des eaux déchaînées.
Le Dalblair a un sérieux handicap: son gouvernail
s’est brisé tant il a été malmené
depuis sa pénible traversée des “Doldrums”
(terme utilisé par la marine anglaise depuis 1850 pour
désigner une zone de basse pression équatoriale)
jusqu’aux eaux mauriciennes.
De sérieux problèmes de repérage
Il n’a pas été établi de manière définitive
ce qui a pu causer le naufrage du Dalblair. Mais il semblerait
que le maître d’équipage a éprouvé
de sérieux problèmes de repérage au large
des côtes mauriciennes, confondant la partie est avec la
partie ouest de l’île, embrouillé par le phare de
l’île aux Fouquets, qu’il prit pour le phare d’Albion. On
ajoute à ces difficultés un gouvernail cassé
et la rupture des 2 des 3 mâts du navire, et on a tous les
ingrédients réunis pour conduire au drame.
Le gouvernail brisé aurait en quelque sorte rendu le drame
inévitable. “Le Capitaine Mentys expliqua que le
gouvernail, s’étant brisé la veille, la Barque Dalblair,
devenue ingouvernable, fut drossée par les courants pour
venir s’emboutir sur les récifs.” (1) D’autre
part, le lieu est connu pour ses naufrages, le Kelvin Side
et le Chrysolite y ayant compté parmi les précédents
navires accidentés. Cependant, il paraît que “l’exacte
vérité ne se saura jamais, ce qui donne à
ce naufrage son côté mystérieux”.
(2).
Les manœuvres de sauvetage après le naufrage
Les deux comptes rendus sur lesquels sont basés les récits
du naufrage et les opérations de sauvetage, se situent
à une cinquantaine d’années d’intervalle, le premier
datant de 1915 et le second des années 1960. Le premier
compte rendu est le fait de William Byrne Collingridge, réalisé
à partir des confidences que lui a faites le dénommé
Williams, jeune officier à bord du Dalblair lors
du naufrage. Les confidences ont été recueillies
alors que tous deux voyageaient à bord du H.M.T. Treneglos
en Méditerranée vers la fin de 1915 (il est une
étrange coïncidence que le capitaine du Treneglos
était celui du Dalblair au moment de son naufrage).
Le Treneglos a lui-même été torpillé
par les Allemands peu de temps après.
Le second compte rendu paraît une soixantaine d’années
après le naufrage, dans une lettre écrite par “J.R.D.
Harries… un survivant du Dalblair, à Tom Collingridge
à Port-Louis…, en réponse au désir de
M. Collingridge d’obtenir un compte rendu personnel d’éventuels
survivants qui naviguaient à bord du Dalblair quand il
fit naufrage à Pointe d’Esny en 1902.” (Idem)
La lettre écrite répond à un entrefilet paru
dans le Sea Breeze de septembre 1960.
Les deux comptes rendus s’accordent à dire que les opérations
de sauvetage ont débuté à l’aube, sur ordre
du capitaine demandant à l’équipage “to
remain on board until daylight”. (3) L’équipage
a-t-il obtempéré ? Il paraît que la consigne
a été largement suivie sauf pour un membre de l’équipage,
“who ventured off on to the reef and was not seen again”
(Idem).
Les tentatives de sauvetage du 7 et du 8 février
C’est donc le 7 février, à l’aube, qu'”un
canot de sauvetage fut mis à la mer et 10 hommes y prirent
place”. (2) Mais un nouveau malheur frappe les
naufragés. “À peine les amarres larguées
le canot chavira dans les grosses houles. Un homme disparut, deux
autres s’agrippèrent au bateau mais périrent noyés.
Les sept autres regagnèrent le rivage tant bien que mal.”
(Idem) Les sept rescapés sont, aussitôt arrivés
sur la terre ferme, conduits à l’hôpital de Mahébourg
pour se faire soigner les pieds, douloureusement lacérés
par les coraux qui tapissent le fond marin entre les récifs
et la plage. “Their feet were reduced almost to rags,
and was cause that they spent many weeks in the Mahebourg hospital,
where they were conveyed on reaching terra firma.” (3)
Mais selon les souvenirs qu’en avait gardés Gabriel Orian,
les blessures subies par les marins étaient beaucoup plus
étendues. “Plaqués sur les récifs
par les vagues furieuses, quelques-uns se noyèrent, d’autres
eurent la jambe ou le bras brisé, tous avaient le corps
couvert de blessures… Mon père nous conta la douleur
du Capitaine devant les corps de ses marins, dont certains étaient
aux trois-quarts ensevelis sous le sable.” (1)
Il est significatif que le compte rendu de W.B. Collingridge laisse
à penser que tout l’équipage a quitté le
navire sinistré à l’aube du 7 février.
“The whole crew on the following morning prepared to go ashore
when they saw the land”, écrit-il. (3)
Ce qui fait croire que l’ensemble de l’équipage s’est blessé
aux pieds et a été hospitalisé à Mahébourg.
Or, le compte rendu épistolaire du survivant J.R.D. Harries
affirme que l’opération de sauvetage s’est effectuée
en deux temps et que les marins, sains et saufs à l’issue
de la seconde opération de sauvetage, ont été
envoyés au Sailor’s Home à Port-Louis, par train.
Les premiers secours avec l’administrateur de Beau Vallon
Gabriel Orian, éminent phytopathologiste, a raconté
à France Staub comment son père, Emilien Orian,
l’administrateur de Beau Vallon, s’était porté au
secours des sinistrés dès le lever du jour: “J’avais
sept ans en 1902 et mon père était l’administrateur
de Beau Vallon. Le 9 février (NDLR: en fait, le drame
du Dalblair s’est joué dans la nuit du 6-7 février
1902), cette année, un violent cyclone toucha l’île
et sévit toute la nuit suivante, secouant les volets de
la résidence. Au petit jour, comme il s’apaisait, des coups
violents ébranlèrent la porte. Mon père l’ouvrit
avec précaution et vit le gardien du campement de la propriété
qui lui annonça : “Ene navire fine arrêté
la nuit lor brisant !” Des marins avaient, paraît-il,
nagé jusqu’au rivage. Mon père fit vite atteler
la voiture d’habitation et dépêcha un courrier pour
prévenir la police. Il passa prendre l’infirmier avec sa
trousse de secours et fit rouler à toute allure vers la
Pointe d’Esny.” (1)
(à suivre)
Sources
Le naufrage du Dalblair a fait l’objet d’une étude
réalisée par François Rey, un Mauricien établi
en Afrique du Sud. L’étude, faite en collaboration avec
Patrick Rogers et sortie des presses aux États-Unis en
1999 (Jared Press, Boston), est intitulée The Dalblair
et sous-titrée Being relics, extracts, recollections
and mementos relating to the barque Dalblair, foundered off Mauritius,
February, 1902. De l’Afrique du Sud, François Rey nous
a indiqué que l’étude en question faisait partie
d’une thèse présentée à sa sortie
de l’université. Ce qui n’enlève en rien la valeur
sentimentale que les Rey attachent à la présence
de l’épave du Dalblair dans les eaux de Pointe d’Esny.
“I chose the Dalblair as a subject matter for its presence
off the Pointe d’Esny coast which my family has been a part of
for over a hundred years – thus making it a sentimental, landmark”,
nous confiait François Rey.
Dominique Rey, la mère de François Rey, a puisé
de l’ouvrage précité pour présenter une causerie
pour le compte de la Société de l’Histoire de l’Ile
Maurice (SHIM), le 19 octobre 2002, pour marquer le centenaire
du naufrage du Dalblair. Le texte de la causerie est disponible
au siège de la SHIM (tél. 670-4811), à la
rue Chasteauneuf à Curepipe, B.P. 150.
Outre la documentation réunie par les Rey sur le Dalblair,
nous utiliserons, pour la reconstitution du naufrage du Dalblair,
un petit document inédit signé William Byrne Collingridge,
lequel nous a été gracieusement offert par Raymond
d’Unienville, et auquel référence est faite dans
le tout dernier fascicule (le No 58) du Dictionnaire de Biographie
Mauricienne dans une entrée sur William Byrne Collingridge
(1882-1966).
Notre documentation s’est enrichie d’un article commémoratif
signé par France Staub, paru dans l’édition du dimanche
6 octobre 2002 de Week-End, sous le titre: “Cette
année l’épave du Dalblair a cent ans.”
Bibliographie
* “Cette année l’épave du Dalblair a cent
ans”, France Staub, in Week-End, dimanche 6 octobre
2002
* Le Dalblair, Dominique Rey, octobre 2002
* Mr. Williams’ reminiscences of the wreck of the Dalblair, William
Byrne Collingridge, November/December 1915
wats that? the late titanic coming this way?
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pitarpak so boat sa kisa 😛
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lol.
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the name of the ship is le
Dalblair , which sank on the reef of pt desny, Mahebourg on the night of
6th to 7th febuary 1902 during a cyclone. its was on its way from
Cardiff ,England to Portlouis with a loads of coal and 24 men . more
info coming soon 🙂
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thanks for info
G
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Le Dalblair
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Naufrage en mer
La nuit fatidique du Dalblair sur les récifs
de Pointe d’Esny ( weekend 2007 )
“Sur la ceinture de récifs qui entoure l’île
Maurice, aveuglés par la tempête et la nuit, des
vaisseaux de tout temps sont venus se briser… Après
de la Pointe d’Esny, la grande carcasse du Dalblair est prisonnière
des roches qui l’ont prise.” (Naufrages in Fagots,
vol.2, 1954)
C’est dans la nuit fatidique du 6-7 février 1902, soit
un peu plus de 105 ans de cela, que le Dalblair, un 3-mâts
à la coque tout en acier, s’échouait sur les récifs
de la Pointe d’Esny. Le Dalblair était en route
pour Port-Louis avec une cargaison de charbon de terre en provenance
de Cardiff en Angleterre. À son bord, un équipage
de 24 hommes, sous les ordres du Capitaine McLaren. Le Dalblair
était à sa seconde visite à Maurice.
Que se passe-t-il en cette nuit fatidique du 6-7 février
1902 au large de la côte sud-est ? Des houles d’une rare
violence projettent le Dalblair contre les récifs
(on est dans un cyclone dont le centre a passé sur Rodrigues
avant de menacer Maurice sérieusement) où il reste
immobilisé au milieu des eaux déchaînées.
Le Dalblair a un sérieux handicap: son gouvernail
s’est brisé tant il a été malmené
depuis sa pénible traversée des “Doldrums”
(terme utilisé par la marine anglaise depuis 1850 pour
désigner une zone de basse pression équatoriale)
jusqu’aux eaux mauriciennes.
De sérieux problèmes de repérage
Il n’a pas été établi de manière définitive
ce qui a pu causer le naufrage du Dalblair. Mais il semblerait
que le maître d’équipage a éprouvé
de sérieux problèmes de repérage au large
des côtes mauriciennes, confondant la partie est avec la
partie ouest de l’île, embrouillé par le phare de
l’île aux Fouquets, qu’il prit pour le phare d’Albion. On
ajoute à ces difficultés un gouvernail cassé
et la rupture des 2 des 3 mâts du navire, et on a tous les
ingrédients réunis pour conduire au drame.
Le gouvernail brisé aurait en quelque sorte rendu le drame
inévitable. “Le Capitaine Mentys expliqua que le
gouvernail, s’étant brisé la veille, la Barque Dalblair,
devenue ingouvernable, fut drossée par les courants pour
venir s’emboutir sur les récifs.” (1) D’autre
part, le lieu est connu pour ses naufrages, le Kelvin Side
et le Chrysolite y ayant compté parmi les précédents
navires accidentés. Cependant, il paraît que “l’exacte
vérité ne se saura jamais, ce qui donne à
ce naufrage son côté mystérieux”.
(2).
Les manœuvres de sauvetage après le naufrage
Les deux comptes rendus sur lesquels sont basés les récits
du naufrage et les opérations de sauvetage, se situent
à une cinquantaine d’années d’intervalle, le premier
datant de 1915 et le second des années 1960. Le premier
compte rendu est le fait de William Byrne Collingridge, réalisé
à partir des confidences que lui a faites le dénommé
Williams, jeune officier à bord du Dalblair lors
du naufrage. Les confidences ont été recueillies
alors que tous deux voyageaient à bord du H.M.T. Treneglos
en Méditerranée vers la fin de 1915 (il est une
étrange coïncidence que le capitaine du Treneglos
était celui du Dalblair au moment de son naufrage).
Le Treneglos a lui-même été torpillé
par les Allemands peu de temps après.
Le second compte rendu paraît une soixantaine d’années
après le naufrage, dans une lettre écrite par “J.R.D.
Harries… un survivant du Dalblair, à Tom Collingridge
à Port-Louis…, en réponse au désir de
M. Collingridge d’obtenir un compte rendu personnel d’éventuels
survivants qui naviguaient à bord du Dalblair quand il
fit naufrage à Pointe d’Esny en 1902.” (Idem)
La lettre écrite répond à un entrefilet paru
dans le Sea Breeze de septembre 1960.
Les deux comptes rendus s’accordent à dire que les opérations
de sauvetage ont débuté à l’aube, sur ordre
du capitaine demandant à l’équipage “to
remain on board until daylight”. (3) L’équipage
a-t-il obtempéré ? Il paraît que la consigne
a été largement suivie sauf pour un membre de l’équipage,
“who ventured off on to the reef and was not seen again”
(Idem).
Les tentatives de sauvetage du 7 et du 8 février
C’est donc le 7 février, à l’aube, qu'”un
canot de sauvetage fut mis à la mer et 10 hommes y prirent
place”. (2) Mais un nouveau malheur frappe les
naufragés. “À peine les amarres larguées
le canot chavira dans les grosses houles. Un homme disparut, deux
autres s’agrippèrent au bateau mais périrent noyés.
Les sept autres regagnèrent le rivage tant bien que mal.”
(Idem) Les sept rescapés sont, aussitôt arrivés
sur la terre ferme, conduits à l’hôpital de Mahébourg
pour se faire soigner les pieds, douloureusement lacérés
par les coraux qui tapissent le fond marin entre les récifs
et la plage. “Their feet were reduced almost to rags,
and was cause that they spent many weeks in the Mahebourg hospital,
where they were conveyed on reaching terra firma.” (3)
Mais selon les souvenirs qu’en avait gardés Gabriel Orian,
les blessures subies par les marins étaient beaucoup plus
étendues. “Plaqués sur les récifs
par les vagues furieuses, quelques-uns se noyèrent, d’autres
eurent la jambe ou le bras brisé, tous avaient le corps
couvert de blessures… Mon père nous conta la douleur
du Capitaine devant les corps de ses marins, dont certains étaient
aux trois-quarts ensevelis sous le sable.” (1)
Il est significatif que le compte rendu de W.B. Collingridge laisse
à penser que tout l’équipage a quitté le
navire sinistré à l’aube du 7 février.
“The whole crew on the following morning prepared to go ashore
when they saw the land”, écrit-il. (3)
Ce qui fait croire que l’ensemble de l’équipage s’est blessé
aux pieds et a été hospitalisé à Mahébourg.
Or, le compte rendu épistolaire du survivant J.R.D. Harries
affirme que l’opération de sauvetage s’est effectuée
en deux temps et que les marins, sains et saufs à l’issue
de la seconde opération de sauvetage, ont été
envoyés au Sailor’s Home à Port-Louis, par train.
Les premiers secours avec l’administrateur de Beau Vallon
Gabriel Orian, éminent phytopathologiste, a raconté
à France Staub comment son père, Emilien Orian,
l’administrateur de Beau Vallon, s’était porté au
secours des sinistrés dès le lever du jour: “J’avais
sept ans en 1902 et mon père était l’administrateur
de Beau Vallon. Le 9 février (NDLR: en fait, le drame
du Dalblair s’est joué dans la nuit du 6-7 février
1902), cette année, un violent cyclone toucha l’île
et sévit toute la nuit suivante, secouant les volets de
la résidence. Au petit jour, comme il s’apaisait, des coups
violents ébranlèrent la porte. Mon père l’ouvrit
avec précaution et vit le gardien du campement de la propriété
qui lui annonça : “Ene navire fine arrêté
la nuit lor brisant !” Des marins avaient, paraît-il,
nagé jusqu’au rivage. Mon père fit vite atteler
la voiture d’habitation et dépêcha un courrier pour
prévenir la police. Il passa prendre l’infirmier avec sa
trousse de secours et fit rouler à toute allure vers la
Pointe d’Esny.” (1)
(à suivre)
Sources
Le naufrage du Dalblair a fait l’objet d’une étude
réalisée par François Rey, un Mauricien établi
en Afrique du Sud. L’étude, faite en collaboration avec
Patrick Rogers et sortie des presses aux États-Unis en
1999 (Jared Press, Boston), est intitulée The Dalblair
et sous-titrée Being relics, extracts, recollections
and mementos relating to the barque Dalblair, foundered off Mauritius,
February, 1902. De l’Afrique du Sud, François Rey nous
a indiqué que l’étude en question faisait partie
d’une thèse présentée à sa sortie
de l’université. Ce qui n’enlève en rien la valeur
sentimentale que les Rey attachent à la présence
de l’épave du Dalblair dans les eaux de Pointe d’Esny.
“I chose the Dalblair as a subject matter for its presence
off the Pointe d’Esny coast which my family has been a part of
for over a hundred years – thus making it a sentimental, landmark”,
nous confiait François Rey.
Dominique Rey, la mère de François Rey, a puisé
de l’ouvrage précité pour présenter une causerie
pour le compte de la Société de l’Histoire de l’Ile
Maurice (SHIM), le 19 octobre 2002, pour marquer le centenaire
du naufrage du Dalblair. Le texte de la causerie est disponible
au siège de la SHIM (tél. 670-4811), à la
rue Chasteauneuf à Curepipe, B.P. 150.
Outre la documentation réunie par les Rey sur le Dalblair,
nous utiliserons, pour la reconstitution du naufrage du Dalblair,
un petit document inédit signé William Byrne Collingridge,
lequel nous a été gracieusement offert par Raymond
d’Unienville, et auquel référence est faite dans
le tout dernier fascicule (le No 58) du Dictionnaire de Biographie
Mauricienne dans une entrée sur William Byrne Collingridge
(1882-1966).
Notre documentation s’est enrichie d’un article commémoratif
signé par France Staub, paru dans l’édition du dimanche
6 octobre 2002 de Week-End, sous le titre: “Cette
année l’épave du Dalblair a cent ans.”
Bibliographie
* “Cette année l’épave du Dalblair a cent
ans”, France Staub, in Week-End, dimanche 6 octobre
2002
* Le Dalblair, Dominique Rey, octobre 2002
* Mr. Williams’ reminiscences of the wreck of the Dalblair, William
Byrne Collingridge, November/December 1915
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Thanks a lotttttttt 🙂
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